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ACS France innove à Roland Garros pour France Télévisions avec la Shotover F1

Le travelling aérien Cablecam avec la tête gyro-stabilisée Shotover F1 sous la réplique d'un A380 sponsorisé par Emirates. — Le travelling aérien Cablecam avec la tête gyro-stabilisée Shotover F1 sous la réplique d’un A380 sponsorisé par Emirates.

ACS France était présent pour 13ème fois aux championnats internationaux de tennis de Roland Garros (19 mai-7 juin) avec 3 dispositifs suspendus de prises de vues. Expert en tournages spéciaux (hélicoptères, véhicules-travelling, caméras sur câbles, rails, grues, drones, etc.), le prestataire a installé pour France Télévisions un rail suspendu de 70 mètres pour des travellings latéraux, dispositif avec tête de caméra stabilisée trois axes Pee-Pod fixé au niveau des loges du court central Philippe Chatrier.

RG ACS France - copie — Caméra sur rail suspendu d’ACS France sur le court central de Roland Garros.

2015-06-05 14.39.34 Ok — Pour le réalisateur, la Shotover F1 offre des angles de vues très créatifs.

Egalement présents sur Roland Garros, deux systèmes Cablecam (caméras en hauteur sur câbles permettant de réaliser des travellings, panoramiques…) avec une nouveauté cette année, une tête gyro-stabilisée Shotover F1 placée sous la réplique de l’avion A380 sponsorisé par la compagnie aérienne Emirates. Ce travelling de 370 mètres de longueur (avec caméra Sony P1 et optique Canon 4.3 x 14) traverse l’ensemble de Roland Garros et passe notamment au dessus du court central. Il permet des images aériennes exceptionnelles qui enrichissent considérablement la réalisation. La shotover F1 a été pensée comme un outil sans limite pour les mouvements de caméra. La tête gyro-stabilisée permet au cadreur de tester de nouvelles prises de vues. Le joint tournant qui transmet le signal par une fibre…

Nicolas Glachant, opérateur de la Shotover F1 sur Cablecam qui traverse tout Roland Garros.

…optique offre une rotation en continu de 360 degrés sur l’axe du pan. Le mouvement tilt peut varier de +45 degrés à -140 degrés, et l’axe du roll de +85 degrés à -85 degrés. La vitesse de rotation est réglable sur chaque axe et peut atteindre 100 degrés / seconde. Une évolution très intéressante pour les prises de vues aériennes fort utile sur des terrains de sport tels que le tennis, le cyclisme, rallye automobile… Enfin, dernier système ACS France en place, le second Cablecam de 66 mètres a été installé sur la longueur latérale du court Suzanne Lenglen et accueille une tête gyro-stabilisée Mini-C (avec caméra P1 Sony et optique Canon 4.3 x 14) plus compacte et discrète que la Shotover F1. Comme pour le premier Cablecam, l’ensemble est tendu entre deux armatures métalliques installées à l’occasion de l’événement. L’intégralité du dispositif a répondu aux critères les plus stricts de sécurité obligatoires dans les enceintes sportives.

Prise en main de l’Alexa Mini Arri à Paris à la Fémis – Mardi 2 juin

L’équipe ARRI France vous invite à découvrir l’Alexa Mini mardi 2 juin de 14h à 20h.

La Fémis – 6, rue Francoeur – 75018 Paris.

Foyer Jean Renoir au second étage.

Métro : Lamarck Caulaincourt – ligne 12.

Apéritif à partir de 18h

Merci de bien vouloir confirmer votre présence par mail à info@imageworks.fr

Les 2 Natacha/sza : Tél .: +33 (0)6 8768 1005 / Tél. : +33 (0)6 3300 2608

Public Sénat : quel avenir pour le documentaire?

Dans un communiqué du 1er juin que nous reproduisons ci-dessous, la SCAM s’inquiète de la nouvelle orientation donnée par Emmanuel Kessler, le nouveau président de la chaine Public Sénat. L’information prendrait le pas sur le documentaire, d’où l’inquiétude de la SCAM qui représente un bon nombre d’auteurs et de journalistes.

» Ce n’est déjà plus une rumeur, Emmanuel Kessler, le nouveau président de Public Sénat a évoqué devant une commission sénatoriale sa volonté de développer l’information au détriment du documentaire.

La Scam qui représente les auteurs de documentaires, de magazines et de nombreux journalistes (free lance, France TV, AFP…) est donc particulièrement bien fondée à déplorer cette évolution.

Certes, le documentaire ne disparaîtra pas totalement de l’antenne mais toute réduction est gravement préjudiciable, notamment l’éventuelle suppression de sa principale case du lundi en 2^nde partie de soirée.

Public Sénat est non seulement une télévision de service public mais une chaîne citoyenne qu’il est contestable de vouloir transformer fut-ce partiellement en chaîne d’information continue.

– l’information et le documentaire y ont leur place autant l’un que l’autre. Un flux d’information ne saurait remplacer des documentaires dont la diversité des regards, le temps d’élaboration, le recul, l’analyse… constituent des compléments indispensables à l’information, particulièrement à celle dite en continue.

– L’information est chère et il est évident que le budget qui va venir financer des tranches d’informations ne financera plus le documentaire, or, Public Senat a su trouver une place singulière dans le paysage documentaire. Elle sait proposer des films qu’on ne voit pas ailleurs et permet ainsi à des auteurs et des producteurs d’offrir un autre regard sur le monde. Elle est également devenue un marché important pour les secondes diffusions.

Récompensée à plusieurs reprises (notamment par deux Prix Albert-Londres en cinq ans, dont celui décerné ce week-end à Cécile Allegra et Delphine Deloget pour leur remarquable film Voyage en Barbarie), une remise en cause de cette politique documentaire qui passerait par une réduction des moyens ou de la visibilité, serait un acte suicidaire sur le plan éditorial et irresponsable sur le plan politique.

La Scam demande donc à Emmanuel Kessler de renoncer à ce projet et de maintenir les cases documentaires existantes et les moyens budgétaires correspondants afin de continuer à offrir au téléspectateur un éclairage sur le monde indispensable au citoyen. »

Christophe Lambert, Président d’Honneur du Festival CinéDrones

Christophe Lambert a confirmé son rôle de Président d'Honneur du festival CineDrones dans les locaux d'Athenium Films entouré de Pascal Anquetil et Sophie Geoffroy. — Christophe Lambert a confirmé son rôle de Président d’Honneur du festival CinéDrones dans les locaux d’Athenium Films entouré de Pascal Anquetil et Sophie Geoffroy.

Le 1er festival international de films de drones européen CinéDrones (inscription des films pour la compétition jusqu’au 15 juin 2015) annonce le 29/05/2015 que l’acteur Christophe Lambert a accepté, à l’invitation de Bordeaux Technowest et d’Athenium Films, d’être le Président d’Honneur de cette première édition qui a lieu le 10 juillet près de Bordeaux au cinéma de Saint-Medard-en-Jalles. Passionné d’aviation et de nouvelles technologies, l’acteur « césarisé » pour son rôle dans Subway de Luc Besson est un homme engagé pour la défense de la nature et des animaux, c’est aussi un écrivain et homme d’affaires avisé qui fonctionne au « feeling ». L’acteur était en visite hier chez Athénium Films pour confirmer son rôle au festival et découvrir le dernier né des drones cinéma d’Athenium équipé d’un stabilisateur de caméra Movi M15.

Arri : workshop chez Visual Impact Paris

Visual Impact France, distributeur et loueur de matériels audiovisuels, organise avec le fabricant allemand Arri et son équipe française un workshop Mercredi 10 juin 2015 (10h00 et 14h30) dans ses locaux 72/74, Bd de Reuilly – 75012 Paris (parking gratuit à dispo). Présentation d’optiques, caméras Alexa Mini, Amira, Alexa, flow focus, Mattebox et support, accessoires caméra…

Inscription obligatoire : www.visualsfrance.com

JetMan Dubaï : Deux français s’envolent en 4K – Have a break, just watch this 4K video !

« I believe I can Fly… » Just play full screen video and enjoy…

CinéDrone : LA compétition de films de drones en juillet

Le 1^er festival international du film de drones en Europe « CinéDrones » (www.festivalcinedrones.com) aura lieu le 10 juillet 2015 à Saint-Ménard-en Jalles, sur le territoire de Bordeaux Aéroparc dans le sud ouest de la France. Un appel à films est ouvert jusqu’au lundi 15 juin 2015. Ils peuvent être enregistrés gratuitement en ligne sur www.filmfestplateform.com jusqu’à cette date.

Lancé à l’initiative de Bordeaux Technowest, CinéDrones vise à promouvoir des films intégrant des prises de vues aériennes réalisées par ces petits aéronefs. L’événement international cherche à favoriser l’émergence d’une filière image innovante en proposant au public une sélection des meilleures réalisations françaises et internationales utilisant des drones comme outils de création et de narration.

Professionnels et amateurs du monde entier sont invités à présenter leurs films dans l’une des 6 catégories de la compétition officielle :

– Fiction

– Documentaires – Sports & Patrimoine

– Clips

– Publicités

– Films d’entreprises

– FPV Racing (courses de drones pour des images et sensations fortes)

5 films par catégories seront retenus dans la short-list et 8 prix seront décernés parmi eux : un prix par catégorie, décerné par un jury professionnel composé de 12 personnalités du Cinéma et des Médias, le Prix du Public, élu par le public présent dans la salle lors de la soirée de clôture, le Prix des Internautes, décerné par les votes en ligne.

Les prix seront remis lors de la cérémonie de clôture le vendredi 10 juillet 2015 dans le complexe culturel le Carré des Jalles. De nombreuses récompenses (espèces ou dotation) sont à gagner grâce aux partenaires CinéDrones qui permettront aux lauréats de continuer leurs créations filmiques.

Festival CinéDrones

25, rue Marcel Issartier – 33700 Mérignac

Tel. : +33 (0)5 56 34 35 44

700 caméscopes Sony pour France Télévisions

Pour ceux qui n’étaient pas encore au courant, Marck Krief, directeur délégué à l’ingénierie, l’a confirmé fin mars aux élus du Comité Central d’Entreprise (CCE). Le renouvellement des caméras concernera toutes les stations de France Télévisions, sans exception, et le déploiement devrait s’étaler de mi-2015 à 2017. France Télévisions a choisi les caméras de reportage Sony pour l’ensemble de ses rédactions en métropole et outre-mer, soit 500 à 700 caméras livrables entre l’été 2015 et 2017.

« Des centaines de JRI et OPV de France Télévisions ont sans doute envie de pousser un « ouf » de soulagement : le parc actuel, composé essentiellement de caméras Panasonic ou Sony achetées entre 2006 et 2008, est en effet à bout de souffle. Dans de nombreuses rédactions, nous sommes confrontés depuis trop longtemps à un matériel usé, à des modèles inadaptés aux besoins, voire parfois à la pénurie de caméras » a indiqué le Syndicat National des Journalistes (SNJ) de France Télévisions.

Les équipements choisis regroupent un mélange de caméras Sony haute définition de poing (PXW-X200), d’épaule (PMW-400) et de taille intermédiaire (PMW300) au format Sony XAVC capables d’enregistrer également en SD. Cette opération dont le montant n’est pas précisé permet de proposer un parc unifié de caméras sur l’ensemble de l’entreprise avec des systèmes compatibles entre eux et un partage des médias simplifié.

« Cette diversité de modèles répond, sur le principe, à une demande exprimée par de très nombreux JRI et OPV ainsi qu’aux recommandations de la médecine du travail. Il est indispensable de pouvoir choisir (en tenant compte des priorités éditoriales mais aussi des contraintes physiques et logistiques) le matériel le plus adapté à chaque tournage. Rappelons que les caméras de poing, souvent très utiles, ne sont pas adaptées à toutes les situations et n’évitent pas les troubles musculo-squelettiques », ajoute le syndicat.

Mais à l’issue des premiers échanges entre élus du CCE et représentants de la direction :

« Il apparaît que cette répartition des différents modèles selon les stations ne s’appuierait pas sur les souhaits des utilisateurs, mais plutôt sur des arbitrages budgétaires des directeurs des pôles et des rédactions ! On pourrait donc, par exemple, déployer une majorité de caméras de poing dans une station, avant même d’avoir consulté les JRI et OPV locaux ! » selon le SNJ.

La direction annonce pourtant vouloir s’appuyer sur une « démarche participative ».

« Le SNJ exige qu’elle respecte cet engagement en associant les salariés et leurs représentants à la mise en place de ce nouveau parc de caméras de reportages. La concertation doit avoir lieu dans toutes les stations, où ce « panachage » doit être débattu, tout comme l’environnement technique (trépied, micros, lumières, accessoires…) de ces caméras. Il en va de la qualité de nos reportages et de la santé des JRI et OPV de l’entreprise. Le SNJ sera également extrêmement vigilant sur l’accès aux formations sur ce nouveau matériel » conclut le SNJ.

Les Studios de Bry repris par Transpalux

C’est la société de location de matériel de cinéma Transpalux, dirigée par l’inoxydable Didier Diaz, qui vient de reprendre la gestion du site des Studios de Bry-sur-Marne. Menacés de disparition à la fin du bail, le 15 avril prochain, les studios de cinéma et de télévision étaient exploités depuis 2001 par son propriétaire, le groupe Euro Media qui était devenu locataire du lieu mi-2013 après l’avoir revendu à la société immobilière Nemoa. Vendredi dernier (6 mars 2015), un accord de « long terme » a été signé entre Didiez Diaz et cette société immobilière après des mois d’incertitude sur le devenir du lieu et des pétitions massives d’un grand nombre de professionnels – parmi lesquels Roman Polanski, François Ozon ou encore Jean-Pierre Jeunet – pour sauver cet « Hollywood à la française ». Selon Rudy Marzouk, propriétaire du terrain et gérant de la société Nemoa, Transpalux reprendra l’exploitation des « studios, ateliers et décors », ce qui représente environ 6 hectares sur les 12 que compte le site « à partir du 15 avril ». Des travaux auront lieu dès cette année pour « rénover les toitures qui fuient, changer les transformateurs électriques… des améliorations du point de vue législatif et cosmétique », a indiqué le promoteur immobilier avant d’ajouter que « l’avenir du reste des terrains du site reste à déterminer ».

L’Association des Chefs Décorateurs de Cinéma (ADC) et celle des Métiers Associés de la Décoration (MAD) ont particulièrement travaillé pour sauver les studios de la destruction et alerter les pouvoirs publics du danger de la disparition de ce haut lieu du cinéma qui a accueilli des films tels que Un Long dimanche de fiançailles ; Hunger Games ; Marie-Antoinette ; Colombiana ou la série télé à succès SODA (Calt) diffusée sur M6 et W9. Mais la concurrence entre les plateaux (sur un marché saturé) s’est accentuée et l’arrivée de la Cité du Cinéma de Luc Besson (et ses 9 plateaux des Studios de Paris, gérés par Transpalux) n’a fait qu’accentuer ce phénomène, certains devant fermer (Studios d’Arpajon…). Aux César, le chef décorateur Thierry Flamand, récompensé pour les décors de « La Belle et la Bête », avait interpellé Fleur Pellerin, ministre de la Culture et de la Communication. Celle-ci avait répondu que trois projets de reprise étaient alors en cours de discussions.

Sur les réseaux sociaux, les deux associations se sont félicitées de cette reprise : « Nous veillerons à la pérennité du projet de ce nouveau locataire, et à ce que l’intégralité des terrains soit affectée au développement d’un pôle image digne du premier producteur européen de fictions. » Quelque peu remontées, les deux associations dénoncent l’inactivité d’Euro Media quant à l’entretien du site depuis son rachat en 2001. « Euro Media devra assumer ses responsabilités dans la remise à niveau de cet outil de production remarquablement conçu et indispensable à la fiction française », estiment-elles.

Situé à 10 kilomètres à l’est de Paris, l’ensemble du site de Bry-sur-Marne se développe sur 12 hectares. Inauguré en 1987 par la SFP (Société Française de Production), le site dispose de 8 plateaux allant de 290 m² à 1085 m² et 1500 m² de décors extérieurs. Les Studios de Bry-sur-Marne intègre l’ensemble des savoir-faire, des métiers et des ateliers nécessaires à l’élaboration d’un tournage, ainsi que des moyens de post-production : décoration, lumière, matériels de fiction, espace de stockage des décors (5 000 m²), loges, bureaux, parking, restaurant…

Nouvelle caméra Arri Mini pour des prises de vues atypiques

Arri annonce une nouvelle caméra de la famille Alexa, l’Alexa Mini, compact et légère (elle tient dans un sac à dos ou un bagage à main), idéale pour des plans où les caméras classiques ne peuvent convenir (manque d’espace, tournage en condition extrême, besoin de discrétion…). Conçue pour des prises de vues spéciales, l’Alexa Mini trouvera parfaitement sa place dans un tournage à plusieurs Alexa.

Un corps caméra à taille réduite et léger

La caméra se distingue grâce à une électronique parfaitement intégrée et scellée, un boîtier en carbone et une monture PL en titane directement reliée au nouveau support du capteur qui assure un tirage mécanique ultra stable, même avec des objectifs de grande taille.

L’Alexa Mini peut être utilisée de nombreuses manières : à distance, grâce à une télécommande sans fil. En tant que caméra normale grâce au viseur Arri MVF-1 ou à un écran embarqué et à l’aide des boutons assignables. Dans des espaces confinés grâce à son faible poids, sa petite taille et à son fonctionnement extrêmement silencieux. Le corps caméra, entièrement symétrique, permet des positionnements atypiques, y compris à l’envers et en mode portrait, et ses nombreux points d’attache permettent des fixations très créatives. La monture interchangeable de l’Alexa Mini peut être remplacée par les mêmes montures conçues pour l’Arri Amira, rendant la caméra compatible avec les optiques B4 et les optiques photo en monture EF.

Equipée d’un capteur 4:3 et proposant un mode automatique de désanamorphose ainsi que des cadences de 0,75 à 200 i/s, l’Alexa Mini enregistre en ProRes et en ArriRAW non compressé sur les cartes CFast 2.0, directement sur la caméra, ou sur un enregistreur externe Codex. Cet enregistreur, spécialement conçu pour la Mini, peut enregistrer simultanément les images jusqu’à quatre Alexa Mini. Une option qui peut s’avérer très intéressante pour les tournages en multi-caméra, tels que les tournages sur 360°. L’Alexa Mini peut enregistrer des images en ProRes 4K UHD, avec sortie en temps réel en 4K UHD et propose des transferts simples pour des masters en haute résolution. De la HD au 2K, en passant par le 4K UHD ou l’ArriRAW 2.8K non compressé ou le ProRes 3.2K.

Grâce à l’harmonisation des images de l’Alexa Mini avec celles de tous les autres modèles Alexa, l’étalonnage est plus aisé et rapide.

Le contrôleur de moteur d’objectif intégré permet de connecter les nouveaux moteurs d’optiques actifs directement à la monture PL, tandis que le système de gestion des données de l’objectif (LDS) permet la gestion des métadonnées à l’image près pour une économie de temps et d’argent tant sur le plateau qu’en post-production.

La connectivité Wi-Fi permet d’activer à distance, via des appareils iOS ou Android, des fonctionnalités de la caméra telles que les filtres ND internes pour pallier rapidement aux changements de luminosité sans devoir ajouter du volume et du poids à la configuration de la caméra.

Le corps caméra a été optimisé pour être compatible avec la nouvelle génération de rigs, drones et autres « multicoptères ». L’Arri Alexa Mini est suffisamment compacte longitudinalement pour permettre l’utilisation d’objectifs standard en monture PL, même sur des rigs légers et compacts, tels que les systèmes aériens gyro-stabilisés. Grâce à ses capacités en faible luminosité, l’Alexa Mini convient également pour les prises de vues sous-marines. Et les principaux fabricants de caissons étanches sont déjà à l’œuvre pour concevoir un caisson dédié.

Les premières Arri Alexa Mini pourront être expédiées à partir de mai 2015 et la prise de commandes démarrera dès le mois de mars. Un prototype de l’Alexa Mini a été présenté à la British Video Expo (BVE) du 24 au 26 février 2015.

Visitez le microsite de l’ALEXA Mini: www.arri.com/alexamini

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